- "À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire." (Pierre Corneille)
- "œil pour œil, et le monde finira aveugle." (Mahatma GANDHI)
- "Homme, ne cherche plus l’auteur du mal; cet auteur, c’est toi-même." (Jean-Jacques Rousseau)
- "Ce n’est que lorsqu’il aura fait tomber le dernier arbre, contaminé le dernier ruisseau, pêché le dernier poisson, que l’homme s’apercevra que l’argent n’est pas comestible." (Indien MOHAWK)
- "C'est pas parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raison!" (Michel Colucci)
- "L'ennui n'est pas dans le monde, mais dans la manière dont nous voyons le monde." (Paulo Coelho)
- "On peut juger de la grandeur d'une nation par la façon dont les animaux y sont traités." (Mahatma GANDHI)
-"Tu dis que tu aimes les fleurs et tu leur coupes la queue, tu dis que tu aimes les chiens et tu leur mets une laisse, tu dis que tu aimes les oiseaux et tu les mets en cage, tu dis que tu m'aimes alors moi j'ai peur." (Jean Cocteau)
-"De tous les animaux qui s'élèvent dans l'air, Qui marchent sur la terre, ou nagent dans la mer, De Paris au Pérou, du Japon jusqu'à Rome, Le plus sot à mon avis, c'est l'homme." (Nicolas boileau)
-"Plus je regarde les Hommes, plus j'aime mon chien." (Fontenelle)
-"En somme la beauté est partout. Ce n'est pas elle qui manque à nos yeux, ce sont nos yeux qui manquent à l'apercevoir."
Un chien se fiche éperdument des grosses voitures des belles maisons ou des vêtements de marque. Un morceau de bois mordillé ça lui va très bien. Les chiens se moquent que vous soyez riches ou pauvres, beaux ou laids, intelligents ou bêtes, donnez lui de l'amour et il vous en donnera. Combien d'humains sont capables de ça ? Combien de gens sont capables de vous donner le sentiments que vous compter vraiment pour eux ? Combien de gens arrivent à vous donner l'impression que vous êtes unique au monde ?
Marley et Melanie.
"Peu lui importe que vous ayez tort ou raison : que vous soyez chanceux ou non, riche ou pauvre, cultivé ou ignare, saint ou pécheur. Vous êtes son compagnon et cela lui suffit. Il restera toujours près de vous pour vous réconforter, vous protéger et il ira jusqu'à sacrifier sa vie pour vous. Il vous sera fidèle dans les bons et les mauvais moments. C'est votre femme, votre mari? Non, seulement votre chien." J.K. Jerome
De temps en temps, les gens me disent « Voyons c'est juste un chien » ou « tu en dépenses de l'argent pour « juste un chien ». Ils ne comprennent pas les distances parcourues, le temps passés ou les coûts que cela implique pour « juste un chien ».
Pourtant, plusieurs des moments dont je suis fière sont survenus à cause de « juste un chien ».
J'ai passé bien des heures avec pour seul compagnon « juste un chien » et je ne me suis jamais sentie moindrement seule.
Certains de mes moments les plus tristes sont survenus à cause de « juste un chien » et dans ces jours sombres, le doux contact de « juste un chien » m'a donné réconfort et permis de traverser la journée.
Si vous aussi pensez que c'est « juste un chien », alors vous comprendrez probablement des phrases comme « juste un ami », « juste un lever de soleil » ou « juste une promesse ».
« Juste un chien » apporte dans ma vie la véritable essence de l'amitié, de la confiance d'une joie passionnée.
« Juste un chien » fait ressortir la compassion et la patience qui fait de moi une meilleure personne.
A cause de « juste un chien », je me lèverai et prendrai de longues marches et regarderais vers le futur.
Alors pour moi, ce n'est pas « juste un chien », mais l'incarnation de tous les espoirs et rêves du futur, le doux souvenir du passé et la PURE JOIE DU MOMENT.
« Juste un chien » fait sortir ce qu'il y a de bon en moi et me détourne de mes pensées et problèmes de la journée.
J'espère qu'un jour ils pourront comprendre que ce n'est pas « juste un chien », mais l'être qui m'a aidé dans mon humanité et qui m'a préservée de n'être que « juste un homme ».
Alors la prochaine fois que vous entendrez la phrase « juste un chien », souriez, parce qu'ils n'ont pas compris.
Au fond du vieux refuge, dans une niche en bois,
Depuis deux ans je purge, d'avoir trop cru en toi.
Tous les jours je t'attends, certains que tu viendras,
Tous les soirs je m'endors, sans que tu ne sois là.
Pourtant je suis certains, je te reconnaîtrai,
Viens me tendre une main, je te la lécherai.
Tu te souviens très bien, quand je sautais sur toi,
Que tu me caressais, que je dansais de joie.
Que c'est il donc passé, pour que ce 16 juin,
Heureux que tu étais, je me rappelle bien,
Tu sifflais, tu chantais, en bouclant les valises,
Que tu m'aies attaché, là, devant cette église.
Je ne peux pas comprendre, et ne croirai jamais,
Que toi qui fus si tendre, tu sois aussi mauvais.
Peut-être es-tu très loin, dans un autre pays,
Mais quand tu reviendras, moi j'aurai trop vieilli.
Ton absence me pèse, et les jours sont si longs,
Mon corps s'épuise, et mon cœur se morfond.
Je n'ai plus goût à rien, et je deviens si laid,
Que personne, jamais, ne voudra m'adopter.
Mais moi je ne veux pas, que l'on me trouve un maître,
Je montre bien mes dents, et je prends un air traître,
Envers qui veut me prendre, ou bien me caresser,
Pour toutes illusions, enfin leur enlever.
Car c'est toi que j'attends, prêt à te pardonner,
A te combler de joie, du mieux que je pourrai,
Et je suis sûr, tu vois, qu'ensemble nous saurions,
Vivre des jours heureux, en réconciliation.
Pour cela, je suis prêt, à faire de gros efforts,
A rester prés de toi, à veiller quand tu dors,
Et à me contenter, même si j'ai très faim,
D'un vulgaire petit os, et d'un morceau de pain.
Je n'ai jamais rien dit, lorsque tu m'as frappé,
Sans aucune raison, quand tu étais énervé,
Tu avais tous les droits, j'étais à ton service,
Je t'aimais sans compter, j'acceptais tous tes vices.
Tu m'as mis à la chaîne, ou tu m'as enfermé,
Tu m'as laissé des jours, sans boire et sans manger,
J'ai dormi bien souvent, dans ma niche sans toit,
Paralysé, raidi, tellement j'avais froid.
Pourtant, si tu reviens, nous partirons ensemble,
Nous franchirons en chœur, la porte qui ressemble,
A celle d'une prison, que je ne veux plus voir,
Et dans laquelle, hélas, j'ai broyé tant de noir.
Voilà, mon rêve se termine, car je vois le gardien,
Puis l'infirmière, et le vétérinaire plus loin,
Ils entrent dans l'enclos, et leurs visages blêmes,
En disent long pour nous, sur ce qu'ils nous amènent.
Je suis heureux, tu vois, car dans quelques instants,
Je vais tout oublier, et, comme il y a deux ans,
Je m'endormais sur toi, mon cher et grand ami,
Je dormirai toujours, grâce à l'euthanasie.
Et s'il t'arrive un jour, de repenser à moi,
Ne verse pas de larmes, ne te prends pas d'émoi,
Pour toi, j'étais " qu'un chien ", tu préférais la mer,
Tu l'aurais su avant, j'aurai payé moins cher."
L'ABANDON EST UN CRIME !!!
UN ASSASSINAT !!!
UN MEURTRE !!!
par Gilbert DUMAS
Bonjours, je me présente. Actuellement étudiant à Orléans, je suis un campagnard écolo militant pour la cause animal. Je suis passioné par les chiens, plus particulièrement les molosses. j'ai donc créé se blog pour vous faire partager les plus beau textes et citations trouvé sur le net.
Je vous souhaite une bonne lecture !!!